Tan Hill Inn lock-in : nos récits de catastrophes de voyage qui sont également devenus des triomphes | Fois2

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Wvec nos excuses à ceux qui sont pris dans les turbulences de la variante Omicron, parfois un voyage qui se passe mal peut être le catalyseur pour qu’il se passe très bien. Le groupe de 61 personnes qui a passé trois nuits enneigées au Tan Hill Inn, le pub le plus haut de Grande-Bretagne, en témoignerait probablement cette semaine. Ils sont venus voir un groupe hommage à Oasis (rebaptisé de manière prévisible Snow-asis); ils sont repartis avec des souvenirs d’un verrouillage impromptu de 72 heures dans les Yorkshire Dales et d’une riche camaraderie forgée par un malheur partagé, un mauvais karaoké et un Theakston Old Peculier illimité (5,6 pour cent). On parle déjà de retrouvailles.

Dans l’esprit de ces troupes de Tan Hill, nous avons demandé à nos écrivains de partager leurs histoires de malheur de voyage qui d’une manière ou d’une autre (généralement par le biais de l’alcool)

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