La confiance du public mondial dans la science du climat augmente

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L’enquête sur le progrès climatique : inquiétudes et espoirs des entreprises et des consommateurs, une étude mondiale de l’opinion publique publiée par le Forum économique mondial en collaboration avec SAP et Qualtrics, constate que si la confiance dans la science du climat a augmenté, l’optimisme fait défaut.

La plupart des participants ont ressenti une forte responsabilité personnelle envers l’environnement, même s’ils estimaient que les entreprises et les gouvernements pouvaient faire plus pour faire une différence. La majorité des personnes interrogées ont estimé que tout le monde devrait travailler ensemble pour lutter contre le changement climatique.

Cette recherche a révélé que près de 70 % des personnes font confiance aux climatologues, contre 57 % en 2019, lorsque cette question du sondage a été posée pour la première fois. En Europe de l’Est et en Asie centrale, le bond a été particulièrement spectaculaire, la confiance ayant presque doublé, passant de 38% en 2019 à 65% en 2021.

74% des personnes interrogées conviennent que le changement climatique est causé par l’homme, un nombre qui est passé de 67% en 2020. Cette question est réglée dans la science du climat depuis un certain temps (99% de la recherche climatique s’accorde sur le fait que le changement climatique est dû à l’homme), mais La question reste un sujet de cercles politiques. La plupart des gens (59 %) pensaient que leurs gouvernements pouvaient faire plus pour protéger l’environnement et seulement un quart environ des entreprises ont fait confiance aux déclarations de durabilité.

Les personnes interrogées au Moyen-Orient et en Afrique du Nord sont assez neutres par rapport aux autres régions car elles ne sont ni en avance ni en retard sur aucun KPI majeur. 71% font confiance aux scientifiques, pensent que le changement climatique est principalement causé par l’homme et se sentent extrêmement ou très personnellement responsables de la lutte contre le changement climatique. Environ la moitié sont optimistes quant aux progrès nécessaires pour réduire les émissions. Parmi les entreprises interrogées, 53 % sont confrontées à un risque notable lié au changement climatique et 59 % de celles qui utilisent des mesures ESG disent qu’elles sont extrêmement ou très utiles.

L’étude mondiale a interrogé plus de 11 000 personnes dans 28 pays sur leur expérience du changement climatique. Environ 70 pour cent de ses répondants représentent la population mondiale, les 30 pour cent restants représentant le monde de l’entreprise (ceux qui travaillent au moins 40 heures par semaine pour des entreprises à but lucratif).

L’étude renforce le message du Forum économique mondial selon lequel la crise climatique nécessitera une collaboration intersectorielle urgente utilisant tous les mécanismes disponibles pour rendre possible une action significative, y compris les politiques, les finances, la technologie et l’éducation.

Les conclusions du rapport s’alignent sur d’autres rapports récents du Forum économique mondial qui font ressortir une réalité critique : les dirigeants n’ont pas besoin de choisir entre l’économie et le climat.

La publication du Climate Progress Survey coïncide avec la COP26, un sommet mondial critique sur le climat qui s’est tenu à Glasgow, en Écosse.

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