Comment un nouvel hôtel sur le thème de Dante à Florence amène l’auteur à un nouveau public

[ad_1]

J’ai vécu à Florence pendant la seconde moitié de 2019. En tant que poète moi-même, j’y suis allé pour écrire et étudier l’italien. C’était une maison de substitution, une maison dans laquelle j’avais hâte de retourner quand j’ai entendu parler de l’objectif de l’hôtel d’apporter l’un des plus grands chefs-d’œuvre de l’histoire à un nouveau public.

Dante est né à Florence en 1265, dans une famille noble, les Alighieri, qui – comme le dictait la coutume – l’ont marié à une cousine plus riche, appelée Gemma, plutôt qu’à Béatrice qu’il adorait (plus d’elle plus tard). Pourtant, ils étaient riches, avaient quatre enfants et prospéraient.

En 1300, il était d’une telle stature qu’il devint magistrat en chef. Mais il fut bientôt entraîné dans la controverse politique bouillonnante de l’époque, la bataille entre les Guelfes noirs, qui étaient pro-Pape, et les Guelfes blancs, qui étaient plus circonspects. Il rejoignit ces derniers, et lorsque les Black Guelphs prirent le pouvoir, fut exilé sous peine d’être brûlé sur le bûcher.

Ainsi, il a quitté la ville de sa naissance en colère. Son chef-d’œuvre et son héritage, La Divine Comédie, est devenu en grande partie un livre sur Florence. Il n’était pas toujours gentil à ce sujet, écrivant à propos de l’endroit : « Florence, réjouis-toi, maintenant que tu as une telle renommée,/Et sur terre et sur mer tu déploies tes ailes !/Tout l’Enfer résonne de ton nom ! Il mourut à Ravenne en 1321. Non, il faut le dire, par le feu, mais de la malaria.

J’ai commencé ma plongée profonde de Dante avec les mosaïques nouvellement restaurées du baptistère de San Giovanni, où il a été baptisé et qu’il appelle « mon beau Saint Jean » au chant 19 de l’Enfer. En exil, il espérait que ce serait un lieu de réparation symbolique et où Florence lui donnerait la dignité et le rang qui lui avaient été refusés auparavant.

[ad_2]

Laisser un commentaire