26 nouveaux films de Jean-Luc Godard
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(Photo by ullstein bild/Getty)
Comme Citoyen Kane, 2001 : L’odyssée de l’espaceou Le parrain, Jean-Luc Godardc’est À bout de souffle est une étape importante dans notre histoire cinématographique, l’un de ces films qui ont considérablement élargi ce que les cinéastes pouvaient exprimer et rêver. À bout de souffle est arrivé en 1960 sur la crête de la Nouvelle Vague française, une source rebelle de créativité d’avant-garde qui mettait en vedette des réalisateurs d’auteurs bousculant les normes, à la fois cinématographiques et sociétales. Mettant en vedette Jean-Paul Belmondo comme un escroc idolâtrant Humphrey Bogart en fuite avec sa flamme américaine (Jean Seberg), À bout de souffle était un pionnier dans ses visuels impétueux, son montage fragmentaire (y compris les coupes sautées et les longues prises) et sa flexibilité narrative avec toutes ses diversions personnelles et philosophiques.
Godard a eu une course légendaire dans les années 1960, réalisant 15 films jusqu’en 1968. Beaucoup sont des classiques certifiés frais, y compris les brochettes de l’industrie Méprisdrame romantique Masculin fémininfilm de braquage Bande d’étrangersla science-fiction sans effets spéciaux Alphavilleet Pierrot le fousorte d’interprétation alternative de Godard À bout de soufflele réunissant avec Belmondo et l’une des sept collaborations avec Anna Karine.
Le road movie apocalyptique de Godard en 1967 Fin de semaine se termine tristement par une carte de titre «Fin du cinéma», déclarant son renoncement au travail commercial. L’ambiance reflétait les grèves et les révolutions de mai 1968 qui allaient remodeler la France contemporaine. 1969 Joie d’apprendretourné avant et après les troubles civils, serait banni des salles.
Pour le reste de sa carrière, les films de Godard deviendront de plus en plus militants et stridentement expérimentaux, avec un intérêt critique moderne resurgissant au début des années 2000 avec A l’éloge de l’amour. Libéré de tout intérêt ténu qu’il avait pour les conventions narratives, Godard a exploré de nouveaux modes de communication au cinéma, avec le meilleur de cette période tardive vu dans le film 3D Adieu à la langue et sa dernière œuvre, Le livre d’images.
#1
Note ajustée : 102601%
Consensus des critiques : À bout de souffle a réécrit les règles du cinéma – et plus de 50 ans après son arrivée, le classique révolutionnaire de Jean-Luc Godard reste tout aussi vital.
#2
Note ajustée : 100063%
Consensus des critiques : Capsule temporelle des années 60 remplie d’idées sur la politique, la culture pop et la bataille des sexes, Masculin-Féminin est l’un des films classiques en noir et blanc de Godard.
#3
Note ajustée : 98301%
Consensus des critiques : Un film de braquage bizarre avec une séquence sombre qui écarte toutes les règles du cinéma.
#4
Note ajustée : 96696%
Consensus des critiques : Cette œuvre puissante du cinéma essentiel associe « méta » à « physique », mettant en scène Brigite Bardot et l’inspiration du réalisateur Godard, Fritz Lang.
#5
Note ajustée : 97288%
Consensus des critiques : Alors qu’Alphaville n’est en aucun cas un film de science-fiction conventionnel, Jean-Luc Godard crée un avenir spirituel et noir qui lui est propre.
#6
Note ajustée : 93880%
Consensus des critiques : Potentiellement insurmontable pour les téléspectateurs peu sensibles à la longueur d’onde du réalisateur, Le livre d’images est généralement déroutant – et finalement gratifiant – Godard de la fin de la période.
#sept
Note ajustée : 90555%
Consensus des critiques : Aussi passionnant visuellement qu’impénétrable, Adieu au langage 3D propose un chef-d’œuvre de la fin de la période d’un réalisateur légendaire encore très maître de son métier.
#8
Note ajustée : 92163%
Consensus des critiques : Coloré, subversif et globalement séduisant, Pierrot le fou est sans doute l’œuvre par excellence de Jean-Luc Godard.
#9
Note ajustée : 82640%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#dix
Note ajustée : 84978%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#11
Note ajustée : 95291%
Consensus des critiques : Deux ou trois choses que je sais d’elle marque un tournant dans la filmographie de Godard – un tournant qui peut confondre un public plus dépendant de la narration, mais qui récompense les visionnements répétés.
#12
Note ajustée : 92363%
Consensus des critiques : Jean-Luc Godard fixe sa colère considérable contre la société française et la condition humaine au sens large dans le drôle morbide Fin de semaineun road trip abstrait vers la damnation qui trouve l’enfant terrible au sommet de sa forme.
#13
Note ajustée : 46390%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#14
Note ajustée : 86806%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#15
Note ajustée : 63596%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#16
Note ajustée : 90859%
Consensus des critiques : La performance saisissante d’Anna Karina fournit une ancre humanisante au portrait stylistiquement explosif d’une prostituée de Jean-Luc Godard.
#17
Note ajustée : 79739%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#18
Note ajustée : 82573%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#19
Note ajustée : 50168%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#20
Note ajustée : 63684%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#21
Note ajustée : 75210%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#23
Note ajustée : 64209%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#24
Note ajustée : 69662%
Consensus des critiques : Une méditation dense mais réfléchie sur la guerre par Jean-Luc Godard.
#25
Note ajustée : 32573%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
#26
Note ajustée : 47118%
Consensus des critiques : Pas encore de consensus.
Avec :
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