Un membre principal de l’équipage de cabine écope d’une peine de prison supplémentaire pour avoir agressé une deuxième hôtesse de l’air

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SINGAPOUR — Plusieurs mois après avoir été emprisonné pour avoir agressé son collègue junior du personnel de cabine, un homme de 51 ans a été condamné lundi 20 juin à trois semaines supplémentaires derrière les barreaux pour avoir agressé une deuxième hôtesse de l’air.

Il avait giflé les fesses des deux femmes sur des vols séparés. La deuxième victime a fait un rapport de police après avoir entendu parler du premier incident.

Le steward singapourien, qui était le membre d’équipage de cabine le mieux classé à bord des deux vols, ne peut pas être nommé en raison d’une ordonnance du tribunal visant à protéger l’identité des victimes.

Lundi, il a plaidé coupable à une accusation d’avoir agressé sexuellement la deuxième victime en 2018. Elle était alors âgée de 31 ans.

Sa peine s’ajoute aux cinq semaines de prison qu’il a écopées en mars. À l’époque, il avait été reconnu coupable après avoir demandé à être jugé pour une autre accusation d’avoir agressé sexuellement la première victime en 2019.

Le tribunal a appris lundi que pour l’affaire de 2018, il était alors employé comme directeur de vol.

Lui et la victime travaillaient à bord d’un vol de Singapour à la ville d’Amsterdam aux Pays-Bas. Il est parti vers minuit le 25 novembre 2018.

En tant que membre d’équipage de cabine le mieux classé, il était chargé de superviser les autres membres d’équipage de cabine sous sa responsabilité et d’assurer les normes de service à bord du vol. La victime lui a signalé.

Après que les pilotes ont fait une annonce au personnel de cabine pour préparer le vol à l’atterrissage, la victime est entrée dans la cuisine de la cabine de la classe affaires pour récupérer une paire de chaussures.

L’accusé lui a alors parlé de son mari, qui était pilote sur le vol.

Peu de temps après, elle passa devant lui dans la cuisine. Il a ensuite giflé sa fesse par-dessus ses vêtements sans son consentement.

Choquée et incertaine de la façon de gérer la situation, elle ne l’a pas confronté mais a continué ses fonctions à la place.

Elle n’a pas non plus immédiatement signalé l’incident à la police ou à la compagnie aérienne, car il avait une jeune fille et elle ne voulait pas qu’il soit licencié.

Elle a déposé un rapport de police le 1er juillet 2019 après avoir appris qu’il était impliqué dans un incident similaire avec la première victime.

Pour attentat à la pudeur en vertu du Code pénal, lu avec la Loi sur la convention de Tokyo, il aurait pu être emprisonné jusqu’à deux ans, condamné à une amende, à la bastonnade ou à une combinaison des trois.

Cependant, les personnes âgées de 50 ans ou plus ne peuvent pas être cannées en vertu de la loi de Singapour.

En vertu de la loi sur la convention de Tokyo, si un crime a lieu à bord d’un aéronef contrôlé par Singapour volant à l’extérieur du pays, le contrevenant peut être accusé de l’infraction en vertu des lois de Singapour.

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