Snaith refuse d’expédier des chevaux sud-africains en 22 av.

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L’entraîneur sud-africain champion Justin Snaith a pris la décision de refuser les invitations aux championnats du monde de la Breeders’ Cup du 4 au 5 novembre à Keeneland pour deux de ses étoiles de première année.

Jais foncé a obtenu une place automatique dans le FanDuel Breeders ‘Cup Mile présenté par PDJF (G1T) à la suite de sa victoire dans L’Omarins Queen’s Plate (G1) le mois dernier à l’hippodrome de Kenilworth.

Jet Dark remporte le 2022 L'Ormarins Queen's Plate<br /> Jockey S'manga Khumalo, l’entraîneur Justin Snaith, les propriétaires Nick Jonsson &  Tommy Crowe » src= »https://cms-images.bloodhorse.com/i/bloodhorse-images/2022/01/f664d711458d4433a6db312d705a2d65.jpg?preset=medium » style= »border-width: 0px; » title= »Jet Dark remporte le 2022 L'Ormarins Queen's Plate<br /> Jockey S'manga Khumalo, l’entraîneur Justin Snaith, les propriétaires Nick Jonsson &  Tommy Crowe »/><figcaption><small>Photo: Liesl King</small></p>
<p>Jet Dark remporte le Queen’s Plate à l’hippodrome de Kenilworth</p>
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<p>Les Snaith formés <span class=La rançon du capitaine a également remporté une invitation à Keeneland pour la Maker’s Mark Breeder’s Cup Filly & Mare Turf (G1T) après avoir remporté les Cartier Paddock Stakes du 8 janvier (G1), également courus à Kenilworth.

Les experts – naturellement ravis de tester deux races sud-africaines contre des adversaires de premier plan – restent stupéfaits que Snaith ne relève pas le défi international. Chaque cheval reçoit une indemnité de déplacement de 40 000 $ pour participer à la Breeders’ Cup.

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Snaith a contré la critique en disant : « Malheureusement, en ce qui concerne le protocole d’exportation, au lieu de devenir plus facile (de voyager), il est en fait devenu plus difficile.

« Dans un monde de rêve, vous n’avez qu’environ 20 % de chances de réussir. Mais il y aura inévitablement des ratés, ce qui réduira vos chances à 5%. Prenez-vous ce risque avec un cheval de haut niveau ? Non. »

Des réglementations strictes qui découlaient initialement de préoccupations concernant la propagation de la peste équine africaine, une maladie souvent mortelle, ont régulièrement causé des maux de tête importants lors d’une tentative de déplacement d’un cheval d’Afrique du Sud vers l’Europe et le reste du monde.

Tout cheval entrant aux États-Unis en provenance d’Afrique du Sud doit entreprendre une quarantaine d’au moins 60 jours et répondre à plusieurs autres exigences médicales.

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