Passeport saisi en raison d’une notification indiquant que le voyage au Yémen nuit à la conduite des affaires étrangères, selon HC

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Dernière mise à jour: 23 août 2022, 20 h 26 HST

Les 23 pétitionnaires ont cherché à annuler une notification au journal officiel du gouvernement central du 26 septembre 2019 au motif qu'elle était ultra-vires par rapport à la Constitution. (Image représentative/Shutterstock)

Les 23 pétitionnaires ont cherché à annuler une notification au journal officiel du gouvernement central du 26 septembre 2019 au motif qu’elle était ultra-vires par rapport à la Constitution. (Image représentative/Shutterstock)

Cherchant à obtenir la libération de leurs passeports, les pétitionnaires ont déclaré appartenir à une catégorie financièrement arriérée et leurs conditions sociales les ont obligés à trouver des emplois dans un pays comme le Yémen qui est vulnérable d’un point de vue sécuritaire.

Certains Indiens qui travaillaient au Yémen depuis plusieurs années ont déclaré mardi à la Haute Cour de Delhi que leurs passeports avaient été saisis par les autorités en raison d’une notification selon laquelle les voyages au Yémen nuiraient gravement à la conduite des affaires étrangères du gouvernement central. Sollicitant la libération de leurs passeports, les pétitionnaires ont déclaré appartenir à une catégorie financièrement arriérée et leurs conditions sociales les ont obligés à trouver des emplois dans un pays comme le Yémen, vulnérable du point de vue de la sécurité.

Ils ont déclaré qu’ils étaient prêts à signer un affidavit indiquant qu’ils ne se rendraient pas au Yémen tant que le gouvernement indien n’aurait pas levé l’interdiction de voyager. Alors que l’avocat du gouvernement central a déclaré qu’il attendait des instructions du département, un banc composé du juge en chef Satish Chandra Sharma et du juge Subramonium Prasad a inscrit l’affaire pour une nouvelle audience le 1er septembre.

Les 23 pétitionnaires, par l’intermédiaire de l’avocat Subhash Chandran KR, ont cherché à annuler une notification de la gazette du 26 septembre 2019 du gouvernement central au motif qu’elle était ultra-vires à la Constitution et comme prière alternative, ils ont demandé la libération de leurs passeports. . Conformément à la notification de la gazette, le passeport ou le document de voyage délivré par le gouvernement central n’est pas valide pour le voyage du titulaire au Yémen car cela nuirait gravement à la conduite des affaires étrangères du gouvernement indien.

Il stipule en outre que tout ressortissant indien qui se rend au Yémen en violation de cette notification sera passible de poursuites en vertu de l’article 12 de la loi de 1967 sur les passeports et que le passeport sera passible de confiscation ou de révocation. L’action contestée du ou des défendeurs viole les droits fondamentaux des requérants garantis par les articles 14, 19 et 21 de la Constitution. Il est pertinent de mentionner que la plupart des pétitionnaires appartiennent au groupe d’âge moyen et qu’il leur est très difficile de trouver un emploi ou une profession à ce stade en Inde pour gagner leur vie. Il est également indiqué que la plupart d’entre eux recherchent/obtiennent des offres de nombreux pays étrangers autres que le Yémen, selon la pétition.

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