Les politiques de franchissement de la Manche ne fonctionnent pas – Yorkshire Post Letters

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Des agents des forces frontalières amènent à terre un groupe de personnes du RNLB Fraser Flyer à Douvres, Kent, le 7 septembre 2020. Photo : Gareth Fuller/PA Wire.

IL est parfaitement clair d’après nos images à la télévision et dans les journaux que nous voyons presque tous les jours que les méthodes actuelles de contrôle des migrants traversant la Manche ne fonctionnent pas (Andrew Vine, The Yorkshire Post, 23 novembre).

Ceci est, bien sûr, à la fois dangereux pour ceux qui effectuent la traversée et ne fait pas non plus de discrimination entre les véritables migrants demandeurs d’asile et ceux qui souhaitent simplement entrer au Royaume-Uni à des fins économiques.

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Actuellement, la coopération entre les autorités françaises et les bateaux de contrôle des frontières britanniques manque de toute forme d’effort conjoint avec les bateaux dériveurs qui continuent d’arriver.

L’utilisation de ces bateaux hors-bord peut éventuellement fournir une solution pour améliorer le contrôle en convenant d’une réglementation plus stricte avec la possession, l’achat, l’importation des moteurs hors-bord utilisés pour propulser les bateaux.

Pourquoi pas quelque chose de similaire au contrôle des armes à feu avec une licence nécessaire pour acquérir un moteur ou une autorisation de la gendarmerie en France pour utiliser et posséder un tel moteur, ainsi qu’un meilleur contrôle sur l’acquisition d’un tel moteur avec des informations d’identification et d’adresse nécessaires ?

Chaque traversée de la Manche utilise un moteur, et en coupant l’approvisionnement, il n’y aurait pas de traversées. L’opération des passeurs cesserait avant qu’ils n’aient pu commencer et nous pourrions alors voir la fin de ce commerce.

Il suffit d’une volonté et d’une aide des autorités françaises et belges pour mettre en œuvre ce mode de contrôle accru au profit de tous.

De : Alan Tidswell, Dacre, Nr Harrogate.

LA situation des migrants dans la Manche s’aggrave de semaine en semaine, et bien que le Royaume-Uni paie les Français pour renforcer la sécurité du côté français, les autorités affirment qu’elles manquent encore de ressources pour contrôler les gangs de passeurs qui y opèrent.

Notre propre force frontalière semble cependant n’avoir aucune difficulté à «sauver» des centaines de migrants chaque jour au milieu de la Manche et à les escorter en toute sécurité jusqu’à leur destination finale, complétant ainsi la dernière étape du contrat des passeurs.

Si les Français font vraiment tout ce qu’ils peuvent avec leurs ressources limitées, alors la solution semble être de fournir une assistance plus pratique. Un accord bilatéral entre les deux pays permettrait à notre force de protection des frontières de renvoyer tous les migrants illégaux, récupérés au milieu de la Manche, vers leur port d’embarquement. C’est la norme partout dans le monde pour les personnes arrivant sans visa.

Il est dans l’intérêt de tous qu’une solution soit trouvée avant que les conditions hivernales de la mer en Manche ne deviennent plus difficiles. Nous devons briser le modèle commercial des passeurs, où les services de porte-à-porte sont ouvertement annoncés en Turquie, la British Border Force fournissant un service de bateau-taxi pour la dernière étape du voyage.

Il ne peut pas être dans l’intérêt de la France de servir de relais de masse à des milliers de personnes qui passent des mois dans des conditions sordides. La France doit savoir qu’une rupture dans le modèle économique des passeurs est la seule solution à moins bien sûr que la France ne veuille utiliser la question comme levier pour les futurs différends entre nos deux pays.

De : Janet Berry, Hambleton.

On ne nous dit jamais où tous les demandeurs d’asile arrivant dans le Kent sont emmenés. Soyons honnêtes. L’Angleterre est pleine. Beaucoup trop de gens vivent ici et trop de voitures sur la route. Chaque voyage est un cauchemar.

J’ai été horrifié par le fait que quelqu’un qui avait séjourné au Selby Fork Motel se soit fait dire qu’il ne pouvait plus y rester car il était plein d’Afghans.

Pas juste n’est-ce pas ? Nos rues sont pleines de sans-abri, mais de plus en plus de gens arrivent avec des familles nombreuses.

Nous sommes une petite île et ne pouvons pas nous occuper de tout le monde. Je suis d’avis que la charité commence à la maison et nous ne sommes pas en mesure d’héberger et de soigner ces milliers de personnes qui viennent illégalement ici.

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