Les députés et sénateurs français s’accordent sur de nouveaux contrôles potentiels aux frontières Covid

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Une commission parlementaire mixte a approuvé un projet de loi gouvernemental qui étendrait la possibilité d’imposer des contrôles liés à Covid aux frontières françaises au-delà de sa date de fin prévue du 31 juillet.

Cela survient après que les députés ont rejeté cette section de la proposition de loi, qui vise à prolonger l’utilisation de certaines mesures liées à la gestion des cas de Covid, alors que la France connaît sa septième vague de virus.

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Cependant, les sénateurs ont ensuite adopté l’intégralité du projet de loi en première lecture, réintroduisant la possibilité d’étendre le pouvoir du gouvernement de réintroduire les chèques Covid si une nouvelle variante préoccupante venait à émerger.

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La commission mixte paritaire (comité mixte), composé de sept députés et sept sénateurs de différents groupes politiques, a convenu que si une nouvelle variante dangereuse de Covid apparaissait, le gouvernement pourrait exiger des voyageurs internationaux qu’ils présentent un résultat de test négatif avant le début de leur voyage.

Cela s’appellerait un certificat sanitaire de voyage (certificat sanitaire de voyage) et ne serait pas exactement le même que le laissez-passer sanitaire actuel utilisé pour les voyages internationaux.

Les laissez-passer sanitaires peuvent prendre la forme d’une preuve de vaccination complète, d’un certificat de récupération des six derniers mois ou d’un test Covid négatif. Les documents exigés par la France dépendent du pays d’où vient le voyageur, ainsi que de son statut vaccinal.

Si une nouvelle variante préoccupante apparaissait, le certificat sanitaire de voyage – qui n’imposerait pas de règles différentes aux personnes vaccinées et non vaccinées – serait mis en place pour un mois.

Passé ce délai, un vote parlementaire serait nécessaire si le gouvernement souhaitait le prolonger.

Le projet de loi contient également un article introduisant la possibilité de prolonger jusqu’au 31 mars 2023 l’utilisation de la base de données française des tests Covid SI-DEP et de son système d’alerte des contacts proches des personnes atteintes du Covid.

La nouvelle version sera désormais soumise à l’Assemblée nationale pour un nouveau vote lundi (25 juillet), puis au Sénat mardi. Si les deux chambres l’adoptent, le projet de loi sera officiellement adopté.

Permettre aux travailleurs de la santé non vaccinés de reprendre leur travail ?

Les sénateurs ont également introduit la possibilité d’autoriser le retour au travail des personnels de santé non vaccinés si la Haute autorité de santé (HAS), régulateur de la qualité des services de santé, accordait son approbation.

Cela créerait une « voie de réinsertion » pour ces travailleurs qui, depuis le 15 septembre 2021, doivent être entièrement vaccinés pour aller travailler.

La commission parlementaire paritaire a accepté ce changement, mais la HAS a exprimé son opposition en se disant « favorable » au maintien de la vaccination obligatoire pour ces professions, compte tenu de la « disponibilité de vaccins sûrs et efficaces ».

Elle a indiqué que sa décision était fondée sur « des incertitudes quant à l’évolution de l’épidémie dans les mois à venir » et sur « l’efficacité d’un cycle complet de vaccination pour réduire le risque d’être infecté et de transmettre la maladie ».

La HAS a ajouté qu’être vacciné était particulièrement important dans le contexte actuel de « nouvelle vague épidémique causée par la sous-variante BA.5 d’Omicron ».

Le ministre de la Santé, François Braun, a déclaré que le gouvernement « suivra les conseils des scientifiques », et s’oppose donc actuellement à la réintégration du personnel soignant non vacciné sur le lieu de travail.

On estime qu’il y aurait entre 2 000 et 3 000 personnels soignants non vaccinés – et donc suspendus – en France.

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