Le président turc Erdoğan saute les funérailles de la reine après l’interdiction d’un jet privé et d’un convoi
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Le président turc Recep Tayyip Erdogan saute les funérailles de la reine Elizabeth après l’interdiction d’un jet privé et d’un convoi.
Les dirigeants étrangers avaient été invités à assister aux funérailles de la reine sans grand entourage ni convoi de véhicules.
Il a évité « l’humiliation » d’arriver à l’enterrement dans un bus pendant que le président américain utilise son convoi.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a sauté lundi les funérailles de la reine Elizabeth II à Londres, où des dizaines de dirigeants mondiaux s’étaient réunis pour faire leurs adieux au monarque britannique le plus ancien, décédé le 8 septembre à l’âge de 96 ans.
Son absence était probablement due à des restrictions de transport, suite à l’annonce que des dirigeants étrangers avaient été invités à assister aux funérailles de la reine sans grand entourage ni convoi de véhicules.
« Est-ce pour cette raison qu’Erdoğan n’assiste pas aux funérailles de la reine d’un pays avec lequel la Turquie entretient des relations stratégiques notamment dans l’industrie de la défense, à un événement auquel assistent de nombreux dirigeants mondiaux ? » a demandé le journaliste Murat Yetkin sur son blog personnel.
Le dirigeant turc a évidemment évité « l’humiliation » d’arriver à l’enterrement en bus. Contrairement aux autres dirigeants mondiaux qui sont arrivés à l’événement en autocars, le président américain Joe Biden a été autorisé à utiliser son convoi de véhicules blindés.
Le dirigeant turc avait précédemment annulé un voyage prévu à la Conférence des Nations Unies sur le climat de 2021 à Glasgow, en Écosse, après que son large entourage n’ait pas été autorisé à assister à l’occasion.
Erdoğan avait déjà publié jeudi un message de condoléances à l’occasion du décès de la reine Elizabeth II de Grande-Bretagne. Ainsi, au lieu de Londres, Erdoğan a pris un vol pour New York ce week-end, avant l’Assemblée générale des Nations Unies cette semaine, où il pourrait probablement rencontrer son homologue américain, Joe Biden.
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