Le Japon lèvera l’interdiction d’entrée des étrangers non-résidents COVID pour 106 pays

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Un avion de Japan Airlines, de dos, et un avion de All Nippon Airways sont vus à l’aéroport international de Narita, près de Tokyo, le 15 janvier 2022. (Mainichi)

TOKYO (Kyodo) — Le Japon lèvera son interdiction d’entrée pour les ressortissants étrangers non résidents de 106 pays, dont la Grande-Bretagne, l’Inde et les États-Unis, à partir de vendredi, a annoncé le gouvernement, dans le cadre des procédures visant à assouplir progressivement les restrictions liées au COVID-19.

Le changement de politique, cependant, ne changera pas radicalement les contrôles stricts aux frontières induits par la pandémie au Japon, car il continuera de suspendre la validité des visas délivrés avant le 2 décembre, à l’exception des diplomates, des conjoints de ressortissants japonais et des résidents permanents, entre autres.

Les visas ne seront pas délivrés, en principe, à moins que ceux qui cherchent à entrer au Japon ne relèvent de « circonstances exceptionnelles », telles que des visites à des personnes gravement malades ou pour des funérailles. Les touristes étrangers restent interdits d’entrée au Japon.

Sur les 106 concernés par le changement, annoncé mercredi par le ministère des Affaires étrangères, la liste comprend des pays asiatiques comme le Cambodge, l’Indonésie, la Malaisie, la Mongolie, les Philippines et la Thaïlande ainsi que des pays européens comme la France, l’Allemagne, l’Italie et l’Espagne.

Les pays qui ne sont plus soumis à l’interdiction d’entrée comprendront également le Qatar, l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis, ainsi que des pays d’Amérique latine et d’Afrique comme le Brésil, le Chili, le Maroc et la Tunisie.

La dernière décision s’inscrit dans la lignée de l’assouplissement par le Japon le 1er avril de son avertissement de voyage pour les 106 pays en raison de la pandémie, les ressortissants japonais n’étant plus déconseillés de visiter ces régions.

Le ministère a abaissé son avis du deuxième niveau 3 le plus élevé sur son échelle de quatre points au niveau 2, en vertu duquel les citoyens japonais sont invités à s’abstenir de tout voyage non essentiel à l’étranger.

Le Japon a effectivement imposé une interdiction d’entrée aux ressortissants étrangers non résidents fin novembre pour freiner la propagation de la variante hautement transmissible d’Omicron. Des étudiants, des universitaires et des milieux d’affaires ont critiqué la mesure comme étant trop stricte.

Alors que la situation de l’infection s’est quelque peu atténuée ces dernières semaines, le Japon a assoupli ses contrôles aux frontières, que le Premier ministre Fumio Kishida a qualifié de « plus stricts » parmi les pays du Groupe des Sept.

À partir de dimanche, le Japon augmentera le plafond quotidien des arrivées à l’étranger à environ 10 000 contre 7 000 actuellement.

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