Le grand road trip en Nouvelle-Zélande : neuf questions avec… Nadia Lim


Nadia Lim dans sa ferme de Central Otago.

La rédactrice en chef Shayne Currie est en voyage de deux semaines pour évaluer l’humeur de la nation et rencontrer des Kiwis de tous les jours et notables qui font une différence dans leurs communautés et dans le monde en général. Aujourd’hui, il rencontre un jeune homme remarquable chargé d’une mission extraordinaire : jouer sur tous les terrains de golf de Nouvelle-Zélande – pour honorer la mémoire de son frère décédé à l’âge de 18 ans. Neuf questions avec… La chronique est avec Nadia Lim (ci-dessous), et ce fut une journée mouvementée sur la State Highway 1, comme le révèle le journal quotidien.

Quel est le mot pour résumer votre humeur du moment ?

Reconnaissant.

Qu’aimeriez-vous que les gens sachent sur l’endroit où vous vivez ?

Queenstown/Arrowtown est plus qu’une simple ville touristique et de saut à l’élastique, c’est aussi un endroit où il fait bon vivre, surtout si vous aimez le plein air, car il y a une infinité de choses à faire (qui ne coûtent rien non plus !)

Quelles sont tes passions?

Cultiver, produire et manger de la bonne nourriture. Et partager ces connaissances et cette passion avec les autres. J’ai la chance de pouvoir vivre et respirer cela tous les jours en vivant sur notre ferme de 1 200 acres (485 ha) à Royalburn Station, où nous cultivons et produisons de la viande, des œufs, des légumes, des céréales, des graines et du miel pour nourrir plus de 20 000 personnes.

Quel Néo-Zélandais (vivant ou mort) admirez-vous le plus – et pourquoi ?

Mon père, Ken, malheureusement décédé il y a neuf ans. Il a émigré de Malaisie en Nouvelle-Zélande au début des années 70 en tant qu’étudiant universitaire et a rencontré ma mère ici. Il a grandi très pauvre, mais a eu la chance d’avoir des opportunités grâce à une bonne éducation et à un travail acharné (il a occupé trois emplois tout en étudiant pour joindre les deux bouts !). Il a inculqué les valeurs du travail acharné, de la famille, de ne jamais abandonner et de ne jamais oublier ses racines chez mes frères et sœurs et moi.

Quelle est votre idée du bonheur parfait ?

Avoir un but, une bonne santé, du temps à passer en famille, mes enfants sont en bonne santé, heureux et atteignent leurs objectifs, être capables de vivre de manière autonome et de profiter des plaisirs simples. La simplicité est la clé !

Quelle est ta plus grande peur?

Mourir avant de voir mes trois beaux garçons grandir, fonder leur propre famille et réaliser ce qu’ils ont décidé de faire.

Invercargill à Queenstown.
Invercargill à Queenstown.

Qu’est-ce que vous détestez le plus?

Un verre, c’est une attitude à moitié vide.

Qu’y a-t-il sur votre bucket list ?

La Mongolie et une vache domestique, entre autres.

À quoi espérez-vous/pensez-vous que la Nouvelle-Zélande ressemblera dans 10 ans ?

J’espère qu’elle sera aussi belle qu’aujourd’hui !

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