L’Autorité palestinienne exhorte le Soudan à remettre les avoirs qu’il a saisis au Hamas

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L’Autorité palestinienne a appelé le gouvernement soudanais à remettre les biens qu’il a saisis du Hamas dans le cadre d’une récente répression contre le groupe terroriste.

Hussein al-Sheikh, un proche du président de l’Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, a tweeté samedi : « Nous espérons que l’État frère du Soudan, qui a toujours été avec le peuple palestinien, à la fois le peuple et le gouvernement, remettra le fonds mobiliers et immobiliers qui ont été confisqués [from Hamas] à l’État de Palestine et à son gouvernement.

Il a ajouté : « Le peuple palestinien a besoin de cet argent, en particulier notre grand peuple assiégé à Gaza. »

Jeudi, une source a déclaré à Reuters qu’un comité soudanais mis en place pour récupérer des fonds publics après l’éviction du dirigeant autocratique Omar el-Béchir a pris le contrôle d’entreprises liées au groupe terroriste palestinien.

La source, au centre du comité, a nommé les entités comme la société immobilière Hassan & Al-Abed, le projet agricole Al-Bidaya, le gratte-ciel Paradise Hotel et la société de transfert d’argent Al-Fayha.

« Ils ont obtenu un traitement préférentiel dans les appels d’offres, une exonération fiscale, et ils ont été autorisés à être transférés au Hamas et à Gaza sans limites », a déclaré à Reuters un membre du groupe de travail sous couvert d’anonymat.

Une source anonyme au sein du conseil de souveraineté au pouvoir au Soudan a confirmé les saisies au journal israélien Kan News et a déclaré que tous les actifs du groupe terroriste au pouvoir à Gaza dans le pays avaient été confisqués.

Le Premier ministre soudanais Abdalla Hamdok préside une réunion du cabinet dans la capitale Khartoum, le 21 septembre 2021. (AFP)

Reuters a décrit les saisies comme faisant partie d’un effort du Soudan pour se déplacer vers l’Occident après le renversement de Bashir en 2019, refusant en fait un refuge aux membres du Hamas pour collecter des fonds et déplacer des armes iraniennes vers Gaza.

Le Soudan a signé un accord de normalisation avec Israël l’année dernière dans le cadre des accords d’Abraham qui ont également vu l’État juif signer des accords avec les Émirats arabes unis, Bahreïn et le Maroc.

Le Hamas, qui contrôle la bande de Gaza, a démenti à l’AFP avoir des investissements au Soudan.

« Nous n’avons aucun problème avec aucune agence soudanaise », a déclaré le porte-parole du Hamas, Hazem Qassem.

Un autre responsable du Hamas a également nié tout lien avec les saisies. « Une partie de ce qui est rapporté ici est ancien. La plupart n’ont rien à voir avec le Hamas », a déclaré Moussa Abu Marzouk.

Les responsables israéliens ont longtemps accusé le Soudan sous Bashir de servir de base de soutien aux terroristes palestiniens.

En 2012, le Soudan a accusé Israël d’avoir frappé une usine militaire à Khartoum, ce qui a laissé entendre que des armes iraniennes y étaient stockées ou fabriquées. Le Soudan a nié les liens entre le Hamas et l’usine.

Cette photo d’archive du 9 janvier 2020 montre une vue générale de Khartoum, au Soudan. (AP Photo/Nariman El-Mofty)

En décembre 2020, après que les États-Unis ont retiré le Soudan de la liste noire des États qui soutiennent le terrorisme suite à leur promesse de normaliser leurs relations avec Israël, la nation arabe a révoqué la citoyenneté du haut dirigeant du Hamas, Khaled Mashaal, ainsi que celle de quelque 3 000 autres ressortissants étrangers. accusé de liens terroristes.

Mashaal, qui a dirigé le bureau politique du Hamas entre 1996 et 2017, a été expulsé de plusieurs pays du Moyen-Orient et réside actuellement au Qatar.

Dans le cadre de l’accord visant à être retiré de la liste noire, le Soudan a accepté de payer 335 millions de dollars pour indemniser les survivants et les familles des victimes d’une attaque contre l’USS Cole en 2000 au large des côtes du Yémen et des attaques jumelles de 1998 contre les ambassades américaines au Kenya et en Tanzanie.

Ces attaques ont été perpétrées après que Bashir ait autorisé le sanctuaire du chef d’al-Qaïda, Oussama Ben Laden, au Soudan. L’un des principaux planificateurs des attaques contre l’ambassade, Abdullah Ahmed Abdullah, a été tué à Téhéran l’année dernière, prétendument par des agents israéliens.

Le gouvernement de transition soudanais, qui a pris le pouvoir en 2019 après le renversement de Bashir, a également accepté de reconnaître Israël, un objectif majeur pour l’ancienne administration Trump, bien que Khartoum ait cherché à minimiser le lien.

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