La « tarification verte » du combustible de soute sur la table des propositions du SEQE britannique

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Selon un document de consultation du gouvernement britannique, l’intégration du coût du carbone dans le prix du combustible de soute pourrait faire partie des efforts du Royaume-Uni pour atteindre le zéro net.

Dans l’état actuel des choses, la différence de prix entre le carburant de soute dérivé du pétrole et les carburants marins alternatifs va à l’encontre de l’adoption de carburants verts.

« Les prix du carburant dans les Maritimes ne reflètent pas les coûts de leurs émissions de gaz à effet de serre et de polluants atmosphériques… il existe actuellement une incitation sous-optimale à investir dans des options de réduction des émissions », indique le journal.

Pour rééquilibrer le marché, « certaines des externalités des carburants marins conventionnels » pourraient être intégrées pour encourager « l’investissement dans l’efficacité énergétique et les carburants alternatifs ».

Essentiellement, le coût du carbone serait reflété dans le prix global du bunker.

Selon le document de consultation, « les émissions seraient calculées en fonction du volume de carburant multiplié par l’intensité carbone de ces carburants, en utilisant le calcul suivant : quantité d’émissions de gaz à effet de serre pour laquelle [a ship is] responsable est égal au volume de carburant utilisé lors d’un trajet qualifiant multiplié par l’intensité carbone du type de carburant. »

L’intensité carbone est définie comme la quantité d’équivalent dioxyde de carbone (en poids) qui est émise
par unité d’énergie utilisée qui serait par unité de carburant maritime utilisé.

L’inclusion dans le système britannique d’échange d’émissions (ETS) se ferait sur la base d’un voyage défini comme commençant et se terminant dans un port britannique où l’opérateur du navire serait tenu de déterminer le volume de carburant utilisé.

D’autres options envisagées dans le document de consultation transfèrent cette responsabilité au fournisseur d’avitaillement.

Le secteur britannique du transport maritime intérieur pourrait rejoindre l’ETS britannique d’ici le milieu des années 2020 et la période de consultation doit durer trois mois à partir de mars.



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