La pétition Mercy demande du soutien pour sauver les Malais-Indiens de la potence à Singapour

[ad_1]

Une pétition en ligne pour sauver un Malaisien d’origine indienne de la potence la semaine prochaine a rassemblé près de 40 000 signatures avec des militants des droits humains exhortant le gouvernement à mettre fin à l’exécution, affirmant que l’homme est handicapé intellectuel.

Nagaenthran K Dharmalingam, condamné à mort à la prison Changi de Singapour, a été condamné en 2010 pour trafic de drogue.

Le ministère de l’Intérieur de Singapour (MHA) a déclaré mercredi que la Haute Cour et la Cour d’appel avaient estimé que la responsabilité mentale de Nagaenthran pour son infraction n’était pas substantiellement altérée.

Il s’est avéré qu’il avait clairement compris que ce qu’il avait fait était un crime et qu’il avait pris le « risque calculé » pour rembourser sa dette.

Nagaenthran K.Dharmalingam, deuxième en partant de la gauche, avec leurs cousins ​​à Ipoh, en Malaisie. (Avec l’aimable autorisation de Sarmila Dharmalingam via AP)

C’est la conclusion de la Haute Cour lors de la condamnation à mort du condamné à mort en 2010 pour importation de drogue à Singapour et elle a été confirmée par la Cour d’appel, qui « a catégoriquement rejeté son récit selon lequel il avait été contraint sous la contrainte », le journal TODAY citant le MHA comme en disant.

Le MHA a également déclaré qu’il aidait la famille de Nagaenthran à organiser son voyage de la Malaisie à Singapour et que ses visiteurs bénéficieraient de visites prolongées en face à face quotidiennement, selon le tabloïd singapourien.

Nagaenthran a été reconnu coupable et condamné à la peine de mort en novembre 2010 pour avoir importé 42,72 grammes d’héroïne un an auparavant.

« Sa requête en grâce auprès du président n’a pas abouti », a déclaré le MHA.

Un rapport en ligne, cité par les médias, a déclaré que Nagaenthran serait pendu le 10 novembre.

La pétition adressée à la présidente Halimah Yacob pour gracier Nagaenthran a été lancée le 29 octobre. Elle sollicite 50 000 signatures à l’appui de la demande de grâce adressée au président. Il a recueilli 39 962 signatures jeudi.

La pétition indique que le condamné devrait être gracié parce qu’il avait témoigné qu’il avait été « contraint » au trafic de drogue par un homme qui avait menacé de tuer sa petite amie.

Il indique également que Nagaenthran a une déficience intellectuelle et un faible QI, une altération des fonctions exécutives et un trouble d’hyperactivité avec déficit de l’attention.

« Étant donné que Nagaenthran est intellectuellement handicapé, a commis un crime non violent et aurait été contraint par des agressions et des menaces, nous demandons sincèrement à la présidente Halimah Yacob de respecter l’engagement de Singapour envers la CNUDPH (Convention des Nations Unies relative aux droits des personnes handicapées) en pardonnant la condamnation à mort de Nagaenthran », ont déclaré les médias, citant la pétition.

Nagaenthran avait d’abord fait appel pour obtenir un ressentiment en vertu des amendements à la loi sur l’abus de drogues qui ont été adoptés en 2012.

Les modifications permettent à un tribunal de condamner un délinquant toxicomane à la réclusion à perpétuité au lieu de la peine de mort s’il n’est qu’un coursier, à condition que le procureur délivre au délinquant un certificat d’assistance substantielle pour aider le Bureau central des stupéfiants à perturber les activités de trafic de drogue.

Nagaenthran a alors introduit un deuxième recours en révision judiciaire contre la décision du procureur de ne pas lui délivrer une attestation d’assistance matérielle.

La Haute Cour a rejeté les deux demandes et en 2019, la Cour d’appel a rejeté les deux appels de Nageanthran contre la décision de la Haute Cour.

[ad_2]

Laisser un commentaire