La curieuse « ville thermale anglaise » de l’est de la France

[ad_1]

En me promenant dans les rues d’Aix-les-Bains, ville thermale française, j’ai été surpris de trouver un drapeau de l’Union flottant fièrement à côté d’une cabine téléphonique rouge et d’un buste de la reine Victoria. Il semble qu’elle occupe une place particulière dans le cœur des habitants.

Et ce n’est pas étonnant. Grâce au parrainage de Victoria, 19e-siècle Aix-les-Bains est devenue la « ville thermale anglaise », où l’élite européenne venait ostensiblement pour des cures thermales, mais vraiment pour jouer et avoir des affaires.

Mais la reine, alors dans sa rage et en deuil de son valet écossais John Brown, a plutôt été attirée par le paysage alpin et les rives paisibles du lac du Bourget, le plus grand lac naturel de France.

« La Savoie, comme l’Écosse, semble un pays chargé d’histoire », écrit-elle dans son journal. « Le magnifique lac du Bourget me rappelle le Loch Lomond, avec une chaîne de montagnes de chaque côté et les sommets les plus hauts et les plus imposants recouverts de neige. »

Encouragée par sa fille Béatrice, dont l’arthrite a été soignée par le médecin avant-gardiste de la ville Léon Brachet, Victoria est venue trois fois, en 1885, 1887 et 1890. Elle a finalement transféré ses faveurs à Nice, se disputant avec les Savoyards pour un droit de passage problème sur le terrain qu’elle avait acheté. Mais Aix est restée à la mode, rivalisant plus que la Côte d’Azur en tant que terrain de jeu pour les riches et les célébrités jusqu’à un triste déclin après la Seconde Guerre mondiale.

[ad_2]

Source link

Laisser un commentaire