La conviction, et non la logique, anime le premier ministre | Écosse


tues temps prévisibles ne sont pas le moment idéal pour embarquer pour un nouveau voyage d’incertitude. C’est une réalité qui se fait jour pour le SNP et le mouvement indépendantiste au sens large. Que les politiciens du SNP l’aiment ou l’acceptent ou non, l’invasion de l’Ukraine par le président Poutine a déprimé l’enthousiasme pour le référendum sur l’indépendance qui, selon Nicola Sturgeon, se tiendra l’année prochaine.

Interrogés dans un sondage publié par The Scotsman si la guerre en Ukraine devrait provoquer une pause dans les discussions référendaires ici en Écosse, 59% des électeurs ont convenu que oui. En l’occurrence, je pense que cette question est du côté inutile de l’intéressant mais, néanmoins, elle démontre pour les durs d’apprentissage qu’il n’y a pas d’appétit pour un référendum sur quoi que ce soit

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