Jakarta-Singapour : coût élevé des voyages en avion


Bien que le nombre de vols opérant entre Jakarta et Singapour continue d’augmenter, la demande dépasse toujours l’offre, ce qui se traduit par des prix des billets d’avion très chers, parfois quatre fois supérieurs aux niveaux de prix qui existaient avant la Pandémie de covid19.

Cité par www.beritasatu.com, Suryopratomo, l’ambassadeur d’Indonésie à Singapour, s’exprimant lors d’un entretien avec Quotidien des investisseurs, a déclaré: «Dans le passé, le prix du billet aller-retour Singapour-Jakarta sur une compagnie aérienne à bas prix n’était que de 200 $ SIN (environ 2,1 millions de roupies), maintenant ce prix est passé à 600 $ – 800 $ SIN. Dans le passé, c’était très bon marché, et maintenant c’est beaucoup plus cher.

Après que la pandémie se soit calmée, a déclaré l’ambassadeur, le nombre de passagers voyageant Jakarta-Singapour a augmenté de façon extraordinaire. « Je pense que 100 000 personnes peuvent voler entre Singapour et Jakarta en un seul mois », a déclaré Suryapratomo.

L’ambassadeur suggère que l’offre de sièges d’avion dépasse de loin la demande actuelle, la demande étant contenue par des prix élevés.

L’ambassadeur a poursuivi en expliquant que Compagnies aériennes Singapour les vols sont maintenant passés à cinq fois et sont récemment passés de quatre fois par jour. Cependant, ce nombre n’atteint pas encore la moitié des vols entre les deux villes avant la Pandémie de covid-19lorsque Compagnies aériennes Singapour effectué 13 vols par jour.

Entre-temps, Garuda indonésievolant pendant la période post-pandémique une seule fois par jour, a augmenté son programme de vols à 11 fois par semaine, laissant quatre jours pendant lesquels il y a deux vols par jour.

Se concentrant sur Bali, l’ambassadeur a déclaré Garuda avaient recommencé les vols de Singapour à Denpasar 3 ou 4 fois par semaine, alors que Compagnies aériennes Singapour vole deux fois par jour.

Élaborant davantage, l’ambassadeur a déclaré Batik Air vole deux fois par jour. La baisse du nombre de vols reflète la demande freinée par les prix élevés des billets dans l’ère post-pandémique.

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