DNV va étudier la sécurité et les risques de la production d’hydrogène vert en mer

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DNV étudie le risque de production d'hydrogène vert à partir de l'énergie éolienne offshore
Site d’essais offshore SEM-REV (Centrale Nantes)

Publié le 19 juil. 2021 15:15 par

L’exécutif maritime

Le concept de production d’hydrogène vert lié aux parcs éoliens offshore va faire un grand pas en avant alors que DNV lance un effort pour identifier et analyser les principaux risques environnementaux, de sécurité et opérationnels associés à l’un des premiers projets de production d’hydrogène vert offshore au monde. Dans son rôle d’expert énergétique indépendant et de fournisseur d’assurance, DNV dirigera la recherche indépendante sur la sécurité et les risques opérationnels de l’installation proposée sur le site d’essai offshore SEM-REV situé au large de la côte nord-ouest de la France.

Le site d’essai, situé à environ 12 milles marins des côtes françaises près de Saint-Nazaire, a été conçu pour la première fois en 2011 avec un prototype d’éolienne flottante installé pour la première fois en 2018, suivi d’un prototype de convertisseur d’énergie houlomotrice en 2019. Lhyfe, un producteur et fournisseur d’hydrogène vert et renouvelable pour les transports et l’industrie, et Centrale Nantes, école d’ingénieurs et centre de recherche français, gèrent le site d’essais offshore SEM-REV.

Au-delà des tests de production d’électricité à partir d’énergie éolienne et houlomotrice offshore flottante, Lhyfe et Centrale Nantes ont annoncé l’objectif de faire de l’hydrogène renouvelable offshore une réalité en démontrant la fiabilité d’un électrolyseur offshore. L’électrolyseur offshore sera installé sur une plate-forme flottante de GEPS Techno, une société d’ingénierie développant la technologie des énergies renouvelables offshore, puis sera connecté aux différentes sources d’énergies marines renouvelables disponibles sur le site d’essai offshore, dont l’éolienne flottante Floatgen. Le système de production d’hydrogène vert est destiné à être alimenté en électricité à partir d’une éolienne flottante, avec une date de démarrage cible en 2022.

« C’est potentiellement un projet décisif, que nous sommes ravis de soutenir pendant la phase FEED », a déclaré Santiago Blanco, vice-président exécutif et directeur régional Europe du Sud, MEA et LATAM, Energy Systems chez DNV. « Prouver la sécurité de telles activités, en particulier avec les nouvelles technologies, pour les faire accepter et les rapprocher de l’adoption, est vital pour l’industrie et les parties prenantes. Nous pensons que l’hydrogène vert à grande échelle est la destination ultime pour l’avenir du stockage d’énergie. »

Dans le cadre de la conception de la nouvelle installation, DNV organisera des ateliers et des sessions techniques pour identifier et analyser les principaux risques environnementaux, de sécurité et opérationnels associés au projet. Les risques qui seront étudiés par DNV incluent la barge flottante, les piles à combustible et la production d’hydrogène. Un examen des règlements et des normes sera également inclus dans le cadre de l’étude. Centrale Nantes met également à disposition ses moyens de recherche et accompagne les différentes phases réglementaires, expérimentales et logistiques.

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