De nouveaux drones flottants pourraient aider à lutter contre la pollution plastique

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Les drones flottants inspirés des requins baleines et les robots à quatre roues sont les dernières inventions pour tenter de lutter contre la pollution plastique, Bloomberg rapports.

Ranmarine, une organisation basée à Rotterdam, a développé ce qu’ils appellent un « Wasteshark » qui collecte les déchets à travers une large ouverture qui imite un requin baleine. Le Wasteshark est un navire de surface autonome, cela signifie qu’il ne nécessite aucune surveillance car il peut être laissé dans le plan d’eau choisi, avec un itinéraire prédéfini, en utilisant le GPS pour naviguer puis rentrer chez lui.

L’organisation affirme que le Wasteshark peut collecter jusqu’à 500 kg de déchets par jour. Il existe également une version à quatre roues, un beachbot, qui ramasse les petits déchets comme les mégots de cigarettes et les capsules de bouteilles. Vous pouvez voir le Wasteshark en action sur les canaux de Hollande ci-dessous.

Une publication récente dans Durabilité de la nature a fourni une analyse complète des solutions pour lutter contre les déchets marins. Même si des politiques sont créées pour lutter contre la pollution plastique, comme la décision prise par Tanzanie en 2019 pour interdire tous les sacs plastiques dans le pays, la publication soulève la question du plastique existant dans nos océans.

La recherche a été menée par la biologiste Nikoleta Bellou qui a commenté que « les océans ont déjà été pollués à un tel point, simultanément à toutes les actions nécessaires pour réduire la pollution à la source ».

La pollution par les plastiques s’accumule plus rapidement que les initiatives pour la corriger, avec des calculs indiquant qu’il faudra environ 100 ans pour récupérer 5% du plastique dans les océans

Autant que 91 millions tonnes sont entrées dans les océans du monde entre 1980 et 2015, avec plus de 8 millions de tonnes entrant dans les océans chaque année. Ce que nous voyons à la surface n’est que 5% du plastique dans les océans. le plastique a contaminé les parties les plus sombres de la tranchée Mariana et est si répandu qu’on estime que d’ici 2050, 99% des oiseaux de mer auront ingéré du plastique.

Bouteilles en plastique à Blue Lagoon, embouchure de la rivière Umgeni. Photo : Recherche sur les plastiques du WWF en Afrique du Sud. L’article complet peut être consulté ici.

L’aggravation de la pollution plastique sur la planète semble comme si notre réalité venait à représenter le film de Pixar de 2008, Mur-E, où la terre est tellement spoliée qu’elle n’est plus habitable que les humains vivent dans une sorte d’arche spatiale tandis qu’un robot est laissé pour nettoyer les déchets. Mais ce n’est qu’un film…

Photo : Lénine Estrada

Pour prévenir cette dystopie, des politiques visant à éviter la production de plastique dissuasive et à encourager une économie circulaire ainsi qu’une éducation du public sur les méfaits du plastique sont nécessaires en collaboration avec des technofixes tels que le Wasteshark. En 2010, l’Afrique du Sud se classait 11e sur la liste des pires contrevenants en matière de pollution plastique dans l’océan. L’Afrique du Sud ne recycle que 16% de son plastique, où le reste finit dans des décharges où il peut facilement souffler dans les rivières et éventuellement dans l’océan.


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