Christian Michel James un risque de fuite, ni jugé ni acquitté par un tribunal italien: HC

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La Haute Cour de Delhi a refusé la mise en liberté sous caution de Christian Michel James, l’intermédiaire présumé dans le scandale de l’hélicoptère VVIP de Rs 3 600 crore, le qualifiant de risque de fuite car il n’a « aucune racine dans la société indienne ».

Le HC a également refusé de s’appuyer sur une lettre « non vérifiée » d’E Bossley, consul du Royaume-Uni en Inde, datée du 7 février, que Michel avait produite en sa faveur pour apaiser les craintes que s’il était libéré sous caution, il pourrait se voir délivrer des documents de voyage pour fuir le pays.

Le HC a déclaré que la lettre n’avait « aucune valeur persuasive » et que s’y fier était « immérité ».

Michel est derrière les barreaux depuis décembre 2018 après avoir été extradé de Dubaï dans une affaire liée à l’affaire de l’hélicoptère AugustaWestland.

Le HC a également rejeté l’affirmation de Michel selon laquelle il avait été acquitté par un tribunal italien en 2014. Trouvant « sans fondement » sa demande, le HC a statué que bien que le nom de Michel « apparaisse dans l’exposé des motifs et l’ordonnance, il n’était pas un partie devant le tribunal italien ».

Michel avait précédemment allégué la détention illégale par le Bureau central d’enquête et avait rendu une décision enregistrée en sa faveur par le Groupe de travail du CDH sur la détention arbitraire (UNHRC WGAD).

Le HC, rejetant les conclusions, a estimé que « même si l’avis du groupe de travail du CNUDH concerne le présent demandeur, il était principalement basé sur des allégations et des informations limitées reçues d’une source non identifiée ».

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