Burger rage: un homme de Dunedin menace de tirer sur un travailleur de la restauration rapide, condamné à six mois de prison

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Lionel James Apanui Tuwairua, 39 ans, a été condamné à six mois de prison après des menaces proférées dans un point de vente Dunedin Burger. Photo / 123RF

En ce qui concerne les réactions excessives, c’était un whopper.

Le 10 novembre, deux jours après sa sortie de prison, Lionel James Apanui Tuwairua, 39 ans, s’est rendu au Burger King avec un ami.

« Je ne voulais pas avoir d’ennuis. Je voulais juste un hamburger. J’avais faim », a-t-il déclaré hier au tribunal de district de Dunedin.

La réalité s’est déroulée un peu différemment.

Insatisfait du repas qu’il a reçu au restaurant Andersons Bay Rd, un Tuwairua ivre s’est approché du comptoir dans un état « très agité ».

Avant même qu’il ne commence à faire les cent pas et à crier des injures, le personnel avait appelé la police.

Tuwairua a dit à la victime – une employée de 28 ans enceinte de huit mois – qu’il récupérerait un fusil de chasse dans sa voiture et « tirerait sur l’endroit ».

Il a dit à la femme qu’il lui ferait sauter la tête dans le magasin, a appris le tribunal.

Tuwairua a alors décidé qu’il se servirait d’un remboursement, atteignant le comptoir, essayant d’accéder à la caisse.

Lorsque cela s’est avéré infructueux, il est parti avec son associé mais a crié qu’il reviendrait.

Il a fallu deux jours avant que la police ne retrouve Tuwairua jusqu’à une adresse de Fairfield, mais malgré le temps qui s’était écoulé depuis la rage du burger, l’accusé est resté belliqueux.

Lorsque les policiers lui ont dit qu’il était en état d’arrestation, il a clamé à plusieurs reprises son innocence, et lorsqu’ils ont essayé de le menotter, il s’est tordu le corps pour leur échapper.

Une lutte s’est ensuivie, au cours de laquelle Tuwairua « a fustigé, donné des coups de pied et mordu », et sa résistance n’a été vaincue que lorsque la police a utilisé un Taser et un spray au poivre.

Ce n’était pas la première fois que l’accusé faisait l’expérience d’un tel traitement.

Six mois plus tôt, la police avait été appelée dans une pension de Dunedin après la résiliation du bail de Tuwairua et il avait réagi avec la même fureur.

Après avoir percé des trous dans un mur, il a proféré de nombreuses menaces et fait semblant de tirer sur des agents avec des pistolets.

À cette occasion, il les a encouragés à le Taser, mais a finalement été maîtrisé avec du gaz poivré.

La juge Joséphine Bouchier a déclaré hier que Tuwairua avait accumulé 45 condamnations pour violences et menaces.

Elle l’a condamné à six mois d’emprisonnement pour menaces de mort, intimidation et résistance à la police.

En raison du temps passé en détention provisoire, Tuwairua sera libéré le mois prochain.

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